Faith

• ÂGE PHYSIQUE ; 29 ans • ÂGE RÉEL ; 29 ans • DATE ET LIEU DE NAISSANCE ; 4 octobre 1981 ~ Etats-Unis • ORIGINE ET NATIONALITE ; Anglais • RACE ; Loup-garou • RANG ; Bolverk de la meute & chasseuse de prime à ses heures • ORIENTATION SEXUELLE ; Bisexuel (ça laisse plus de choix ) • CAPACITÉ SPÉCIALE ; Autumn a un don qui, si il est mal maîtrisé peut causer des ravages chez la personne qui en est détentrice. En effet la belle possède le don de télépathie, elle peut entendre les pensées de toutes autres personnes se trouvant à proximité d'elle, elle peut sonder leur esprit pour connaitre leur moindre pensé mais comme dit plus haut cette personne doit être assez proche de la jeune femme, quelques mètres au maximum

Chapitre I Tout a un commencement

Un livre était posé dans un vieux tiroir en bois, usé par les va et viens incessant qu’il avait fait pendant plusieurs année, ce livre à la couverture de cuir légèrement écaillé n’est pas rien pour la personne qui le possède, en approchant d’un peu plus prêt on peut apercevoir dans le coin droit en bas de la couverture une trace écrite … Autumn Emylia Hexley. Ce livre n’a pas du servir depuis quelque temps déjà, le prouve la légère couche de poussière ayant prit place dessus, mais nous n’allons pas rester la à l’observer sous toute ses coutures, ouvrons le afin de voir se qu’il peut bien renfermer. L’état des pages confirme que le livre n’est pas tout jeune, les pages qui devaient être originellement blanches étaient maintenant faite d’une légère teinte grisâtre. Et dés la première page il était possible de se faire une idée sur la personne à qui appartiens cette chose, en effet il y avait une phrase rédigée avec une écriture assez brouillonne.

« Ma vie n’est qu’une longue descente aux enfers dont seule la mort peut me délivrer.»

Sous cette phrase ce trouve une photo, celle d’une belle jeune femme d’environ un mètre soixante-dix. On remarque qu’elle possède une longue crinière brune qui, sur cette photo sont laissés au naturel, en s’approchant légèrement de la photo on remarque ses yeux d’un bleu assez clair, sur cette image la belle possède un regard assez profond, assez sévère.
Au niveau de la silhouette, que dire, elle est svelte tout en possédant quelques formes la où il faut et dans les proportions qu’il faut. A première vu on ne peut qu’imaginer qu’elle n’est pas violente ou du moins qu’elle ne ferait pas de mal à une mouche.

Aussi glauque il faut se l’accorder, rien que cette phrase pouvait laisser imaginer que toutes les autres écritures de ce livre n’allaient pas être plaisante à voir et qu’il était fort peu probable que nous trouvions « tout est bien qui finit bien » à la fin du dit livre. Passons à la seconde page, contrairement à la première celle-ci était replie d’écriture, il n’y avait quasiment plus aucune trace de papier vierge et tout en haut de la page il y avait comme un prologue, à croire que ce livre n’est au fond qu’une autobiographie.

« Les onze premières années de ma vie … je n’ai rien à en raconter, pas beaucoup de souvenir à écrire sur ses pages … bien que se soit les seules années normales qui j’ai passé je ne peux et je ne veux pas m’en souvenir plus que ça. Je suis née le 4 octobre 1981 aux Etats-Unis en même temps que ma jumelle (ce qui va de soit), Amber. Nous ne n’étions pas seule, nos parents avaient déjà eu deux fils avant nous, comme je vous l’ai dit plus haut, rien à vous signaler durant cette longue période, une vie banale, avec une famille banale dans une ville banale, rien de plus ennuyant et pas de quoi en faire un livre ou un film.
Mais ceci n’est que le début de la fin, le début d’un enfer qui allait commencer par une descente rapide, beaucoup trop rapide et violente pour toutes personnes sur cette Terre, une descente que personne ne peut imaginer. »

A ce moment, tous les lecteurs peuvent envisager le pire, qu’a-t-il bien pu arriver à cette femme pour qu’elle soit aussi négative dans ses écrits, il lui est arrivé quelque chose que personne ne peut imaginer, rien que ces mots suffisaient à n’importe qui pour imaginer tout et n’importe quoi, que se puisse être réel ou non.
A la suite de ce prologue un nouveau paragraphe commençait à la suite d’une date, et quand un date est mentionnée dans un écrit il y a toute les chances possible pour qu’elle soit vraiment importante.

Chapitre II Il suffira d'une étincelle ...

8 décembre 1995.

« C’est en ce jour que tout changea, pourtant commencé comme tout les autres et vécu aussi comme tout les autres, rien d’anormale, une journée ordinaire dans la vie d’une jeune fille ordinaire … tout était bien, une journée assez belle pour cette saison, le soleil était la, sans aucun nuage dans le ciel, se qui occasionnait un froid assez vigoureux à l’extérieur, en effet je me souviens que le thermomètre affichait légèrement en dessous des zéro degrés.
Après une journée d’école nous nous étions tous rassemblés autour de la table afin de dîner, comme chaque soir, un repas convivial ou régnait la bonne humeur … plus tard dans la soirée, mes frères, ma sœur et moi-même étions partit dormir, mais peu de temps après mettre endormis je fus réveillé par des cris et des bruits de porcelaine brisé. Que pouvait-il bien se passer pour qu’il y ai un tel bouquant dans cette petite maison … à peine fus-je levé que le silence était revenu, il fallait quand même que j’aille voir si tout allez bien, mais au moment où ma main se posa sur la poignet des bruits de pas se firent entendre et j’aperçu alors une ombre posté devant la porte. Qui cela pouvait-il être, je n’allais pas tarder à le découvrir à mes dépends car au bout de quelques petites secondes la porte s’ouvrit, je recula de quelques pas et je l’aperçu, cet homme qui allait être à l’origine du déclin de ma vie, je n’eu pas le temps de faire quoi que se soit que son poing avait déjà heurté violement ma tête … c’est ainsi qu’un trou de mémoire vint entacher se douloureux souvenir. Le coup porté par cet inconnu m’avait fait perdre conscience, je fus réveillé par la forte chaleur et l’odeur de souffre qui venait s’engouffrer dans la placard, ce placard dans lequel nous étions entassés, mes parents, mes frères, ma sœur et moi, mon père avait essayé tant bien que mal d’enfoncer la porte mais en vain. Nous étions tout les six enfermés entrain de suffoquer, nous allions brûler vifs sans pouvoir rien y faire et tout cela à cause d’un psychopathe.

J’étais entrain de suffoquer quand un léger son, presque inaudible se fit percevoir, il ne restait qu’Amber et moi, les quatre autres n’étaient plus conscient, je tourna mon regard vers ma jumelle, lui prit la main, comme dans un dernier espoir, elle aussi semblait avoir entendu se léger son, et si je forçais ma réflexion, se qui en soit avec les fumées était assez difficile, je reconnu le bruit des sirènes qu’utilisent les pompiers. Enfin du secours après ces longues minutes qui semblaient s’écouler au rythme des heures, j’espérais de toute mon âme qu’ils allaient venir nous sauver le plus vite possible mais je ne resta pas consciente assez longtemps pour voir si oui ou non ils nous avaient sauvé. »

A lire ce passage on ne peut que se sentir ému et essayer, oui juste essayer d’imaginer se qui a pu se passer dans la tête de cette famille et d’imaginer ce qu’ils ont pu ressentir … comment des gens peuvent avoir la folie de faire subir ça, comment des êtres humains peuvent avoir un esprit aussi tordu pour mettre le feu à une maison afin de brûler vif des gens. Enfin je ne vais pas vous embêter avec mon point de vu, repartons, il reste encore quelques trucs à lire.

Chapitre III ... car le reste n'est qu'accessoire

Quelques jours après l’incendie.

« Etais-je morte ? Est-ce que j’étais au paradis ? Quand j’ouvris un œil tout était blanc, vu tout les appareilles présent dans la salle je devais être dans un sale état à mon arrivé, je sentais quelque chose dans ma main droite, qu’est-ce que cela pouvait bien être, je tourna la tête sur ma droite et vit que ce n’était autre que la main d’Amber.
Au fil de jours nos blessures cicatrisèrent rapidement, il faut même avouer étrangement rapidement … d’habitude il fallait des jours pour qu’un plaie se referment et pour que des brûlures disparaissent il fallait des années, enfin suivant leurs importances … et les nôtres étaient très sérieuses, elles n’auraient jamais pu disparaître en si peu de temps.

Je voulais savoir comment nous avions pu guérir de la sorte, c’est ainsi que je questionna la médecin qui était en charge de nous et quel ne fut pas le choc quand il nous apprit la cause de ses guérisons. Ce qu’il disait n’avait aucun sens, nous serions des loups-garous, je ne voulais pas y croire surtout que, si nous en étions alors nos frères et au moins l’un de nos parents auraient survécu avec nous. Impossible me répétais-je en boucle et je suppose qu’Amber devait faire pareil, mais apparemment cet homme avait réponse à tout, maintenant il venait de nous apprendre que nous avions étés adoptés … alors nos parents n’étaient pas nos parents, trop d’informations venaient d’arriver dans ma tête.
En quelques temps j’étais passé dans la gentille petite fille sage et dans les rangs à une fille adoptive qui plus est un loup-garou. Il nous fallut plusieurs jours, à rester seule toutes les deux afin d’accepter se que nous venions d’apprendre Amber et moi.

Ce même médecin décida de nous prendre sous son aile, il nous avoua que lui aussi était un loup-garou, il avait décidé de nous aider durant toute la fin de notre adolescence, durant notre première transformation et jusqu’à se que nous soyons capable de nous entretenir nous même.
Ma première transformation … je m’en souviens comme si c’était hier, un souvenir qui n’est pas des plus plaisant non plus. Tout était normal au début, juste un sentiment d’invincibilité, l’impression que rien ne pouvait me résister, mais la douleur vint faire oublier ces sentiments, des douleurs dans tout le corps. Les douleurs augmentaient petit à petit, j’avais la sensation que mes poumons allez exploser, qu’on m’écartelais avec une puissance inimaginable, sur le moment j’avais juste envie que l’on m’achève … mais bon tout ne viens pas facilement, et la pouvoir et toute les autres choses que peuvent apporter le fait de faire partit de cette race méritait quelques sacrifice. »

A la suite de ce texte il n’y a plus qu’un poème qui lui contrairement à toutes les autres écriture est rédigé avec une parfaite maîtrise de la calligraphie, digne de l’écriture des plus nobles personnes de cette Terre suivit de quelques bribes d’écriture au crayon de mine qui ne racontent pas la passé mais plutôt ce qu’elle vit en se moment.

Depuis l'obscurité qui m'envahit,
Noire comme le royaume de l'enfer,
Je remercie les dieux quels qu'ils soient
Pour mon âme indomptable.

Dans l'étreinte féroce des circonstances,
Je n'ai ni bronché ni pleuré
Sous les coups de l'adversité.
Mon esprit est ensanglanté mais inflexible.

Au-delà de ce monde de colère et de larmes,
Ne se profile que l'horreur de la nuit.
Et pourtant face à la grande menace
Je me trouve et je reste sans peur.

Peu importe combien le voyage sera dur,
Et combien la liste des châtiments sera lourde,
Je suis le maître de mon destin,
Je suis le capitaine de mon âme.

« Aujourd’hui je ne vit encore que pour une seule chose, chasser afin de retrouver la personne qui a ruiné ma vie, cette personne qui a enflammé cette petite maison dans laquelle je vivais. C’est le seul but potable qu’il me reste aujourd’hui, je ne connais pas son physique ni son nom, juste l’odeur de cette personne …

Je chasse pour passer le temps mais aussi pour l’argent, j’ai mis mes talents de chasseuse a profit afin de pouvoir en vivre. Je n’ai que très peu de contact avec des personnes, la plus part du temps je ne parle au gens que par nécessité, que je peux tirer des informations d’eux. Je suis borné au possible, quand j’ai décidé quelque chose rien ne peut m’arrêter, j’irais jusqu’au bout même si je dois risque ma vie ou celle de quelqu’un d’autre, je n’ai que très peu de pitié et ça m’est utile dans mon métier.
Bien qu’ayant peu de contact avec les autres je fais toujours croire que je me complais dans la vie que je mène alors qu’il en est tout le contraire, je joue un rôle afin que l’on ne me fasse pas chi**, et les personnes qui me connaissent bien savent que je suis une personne qui ne sait pas très bien se qu’elle veut au final, je suis extrêmement compliqué … et si tout se qui vient d’être cité ne vous plaît pas, je ne vous retiens pas, vous pouvez refermer ce livre et le ranger.»

• PSEUDO ; Il y en a trop je peux pas tous les citer mais en général c'est Tagada (:
• ÂGE ; 18 ans
• FRÉQUENCE DE CONNEXION ; au moins une fois par jour
• COMMENT TU NOUS A CONNUS ? =P ; Une apparition pendant que je dormais
• COMMENT TU TROUVES LE FORUM ? oÔ ; Moche, laid et tout les autres thermes péjoratifs qui vont avec
• MULTICOMPTE ? ; [] Oh yeah ! [X] Nope =P
• CÉLÉBRITÉ DE L'AVATAR ; Olivia Wilde
• CODE DU RÈGLEMENT ; Donne moi ton sang mon chat